mardi 31 octobre 2017

mardi 31 octobre - à l'écoute de "babel-gomme"

"Babel-Gomme" donc est le tout récent dernier opus de Marc Perrone. Je l'ai retiré au Parvis hier ; je l'ai manipulé ; j'ai parcouru ses textes ; j'ai été intéressé par cet "objet", artistique s'il en est. J'ai commencé à le découvrir juste après le petit déjeuner. Vingt-cinq titres.

Mais, ce matin, pour ce chemin de découverte, je n'ai pas seulement été intéressé à l'écoute de cet ensemble de morceaux ; j'ai surtout été ému, touché...

Ce disque en effet, c'est du Perrone pur jus. On reconnait d'emblée ses mélodies, le son de son instrument et son phrasé. On est en pays de connaissance. Mais, bien au-delà de ses qualités artistiques, ce sont les qualités personnelles de Marc Perrone que j'ai retrouvées dans cet album. Il y a en effet chez lui un mélange spécifique de pudeur et de confidence qui lui est propre.

Bien sûr, je n'en suis qu'aux premiers pas d'un parcours qui sera long. Pour l'heure, cette première écoute a été pour moi un tel choc qu'il me paraitrait bien vain de vouloir essayer d'en faire l'analyse. Je peux cependant en dire un mot sans crainte de me tromper : "écoutez Babel-Gomme toutes affaires cessantes ! Vous ne le regretterez pas !"

Marc Perrone a écrit ceci, qui me parait bien correspondre à son inspiration :"La musique, les mots, dessus, dessous, forment un viatique que j'aimerais ici partager. Pour m'aider au voyage, mes amis de cœur m'ont apporté de précieuses provisions. Je les en remercie". A notre tour de le remercier de nous faire partager son voyage !  

lundi 30 octobre 2017

lundi 30 octobre - "babel-gomme"

Après plusieurs jours de retard par rapport à la date de sortie annoncée du dernier opus de Marc Perrone, j'ai reçu ce matin cet sms du Parvis : "Votre espace Leclerc vous informe que votre commande est disponible en magasin à dater de ce jour..."

Forcément, à 14 heures, je suis allé le retirer. En couverture, Marc Perrone tout sourire, penché sur son Castagnari. De belles mains pour sculpter de belles mélodies. De lui émane une grande tendresse. On le reconnait bien là...  A l'intérieur, encore des sourires, de Marc Perrone lui-même ou de certains de ses invités.

Un signe de l'ancrage de son disque : la photographie du passeport de son grand-père. L'Italie, sa source de vie. Autre ancrage : l'amitié. Vingt-cinq titres et la présence amicale de Gilles Apap, de Marcel Azzola, de Jean-Luc Bernard, de Marie-Odile Chantran, de Jacques Di Donato, de Bernard Lubat, d'André Minvielle...

Pour information, signalons encore un livret de 35 pages en français, italien et anglais. Commentaires de chaque titre et textes.  Une présentation qui prouve assez le respect de Marc Perrone pour ceux qui l'écoutent. Qui manifeste aussi l'enjeu qu'il met dans cet album.

On imagine facilement l'exigence vitale de ce disque. C'est pourquoi je me donne le temps de l'écouter demain, après m'être assuré de pouvoir l'écouter de a à z sans être dérangé. Une écoute pleine d'émotion...

On en reparle !

lundi 23 octobre 2017

lundi 23 octobre - "passerelles", un album signé hervé sellin

C'était il y a quelques semaines. On avait appris par une newsletter, je crois, de Fanny Azzuro, qu'elle contribuait à un album signé Hervé Sellin et intitulé "Passerelles". Une manière, peut-être, d'annoncer la couleur, si j'ose dire : un disque faisant en quelque sorte le pont entre musique estampillée  classique et jazz.  "Passerelle", un mot qui connote les idées de plan incliné pour accéder à un espace supérieur comme un pont de navire, de passage plus ou moins abrupt et de superstructure. Toutes notions qui conviennent à cet album.

" Passerelles" donc, est à la croisée des chemins entre morceaux classés classiques et facture jazz. De ce point de vue, le teaser proposé à notre curiosité est un document auquel je ne saurais rien ajouter tant le commentaire est précis, juste et pertinent. Commentaire signé Hervé Sellin.

http://www.concertclassic.com/video/passerelles-nouvel-album-dherve-sellin-entre-classique-et-jazz

J'ajouterais tout au plus qu'Hervé Sellin a su s'entourer pour cette création de jeunes musiciens pleins de talent :

- Fanny Azzuro, second piano
- Rémi Fox, saxophone soprano
- Emmanuel Forster, contrebasse
- Kevin Lucchetti, batterie

En fait, un jazz que je dirais volontiers de club : intimité, retenue, intelligence, complicité... Un jazz qui s'alimente à des pièces de Robert Schumann. Les cinq premiers morceaux sont présentés comme "d'après Les scènes d'enfants" de ce compositeur. Les titres 6, 7 et 8 sont respectivement d'Eric Satie : "3ème Gnossienne", d'Henri Dutilleux : "Sonate - 3ème mouvement" et de Claude Debussy :"Prélude à l'après-midi d'un faune".

A noter que Fanny Azzuro n'est présente comme second piano que sur les cinq premiers titres. Mais, pour dire la vérité, je ne suis pas encore capable de la différencier du piano d'Hervé Sellin. Affaire à suivre...

mardi 17 octobre 2017

mardi 17 octobre - alerte pétition ! soutien à pascal contet.

Ci-dessous un lien vers une pétition de soutien à Pascal Contet.  Forcément, Françoise et moi, nous n'avons pas hésité une minute à signer cette pétition pour plusieurs raisons : soutien à l'artiste, que nous "suivons" à travers disques et concerts, soutien au pédagogue, soutien au chroniqueur de "l'instant Contet" sur "Accordéon et Accordéonistes" où il nous faisait partager sa culture et sa sensibilité au monde.

Bref ! On voudrait en toute modestie en signant cette pétition témoigner de notre sympathie envers Pascal, de notre estime et de notre admiration.

N'hésitez pas ! Soyez nombreux à signer. Et à faire circuler cette pétition.



Lien pétition Strasbourg
De la part du comité de soutien qui lance cette pétition. 


lundi 16 octobre 2017

dimanche 15 octobre - "la vie en vrac" de david venitucci et annick cisaruk

On a reçu il y a peu de temps le dernier opus de David Venitucci et Annick Cisaruk intitulé : "La vie en vrac". D'évidence, c'est un bel objet culturel, plus précisément poétique. Les quatre images ci-dessous me semblent suffisantes pour en suggérer cette qualité.

1.- La pochette, recto / verso. Quelque chose de surréaliste au sens propre du terme. Une vie en vrac ? une vie nomade ? une vie recomposée ? Toute une vie dans un bagage !


2.- Intérieur de la pochette. Sous le disque, un jeu de cartes de tarot et le couteau d'Antonio Ruiz.



3.- Deux grands voyageurs : des trains, des trains... pas de train-train... Avec l'essentiel des bagages sur le dos ou au bout des doigts...


4.- Le texte et les symboles qui l'accompagnent. Un texte de haute inspiration ! Ecorché vif ! A fleur de peau ! Autobiographique ?

 
De "Cascade" en solo à ses prestations avec Renaud Garcia-Fons, nous n'avons cessé d'admirer le jeu de David Venitucci. On attend ses disques avec toujours la même impatience, les mêmes attentes et le même plaisir. De même, on est toujours à l'affut de la sortie des disques qu'il a réalisés avec Annick Cisaruk : "Annick chante Barbara", "Annick Cisaruk, Léo Ferré, l'âge d'or"... Et, aujourd'hui, "La vie en vrac".  Un disque attachant, au sens où il est difficile de s'en détacher, pas seulement matériellement - il tourne en boucle depuis sa première écoute - mais surtout spirituellement, tant la voix d'Annick, le texte de Yanowxki et l'accordéon de David ont une présence obsédante.
 
Ce qui d'emblée me frappe quant à cet opus, c'est pour ainsi dire l'obstination du travail d'artisan jusqu'au moindre détail au service d'un projet artistique frappé au sceau de l'authenticité. Ce qui me frappe aussi, c'est le fait que le texte, la voix et l'accordéon forment un trio indissociable. Par exemple, il ne saurait à mon sens être question de la voix d'Annick, d'une part et d'autre part d'un simple accompagnement par l'accordéon de David. On est très au-delà ici de ce qu'il est convenu de désigner comme accompagnement ; il s'agit en vérité de fusion entre les deux instruments, si je puis dire.
 
Autre caractéristique de cet album : chaque titre est introduit par David avec quelques notes d'accordéon. Et cela suffit pour installer d'emblée le climat du morceau. Rien que pour ces quelques notes, ce disque, c'est du grand art.
 
Grand art aussi, la manière dont le récit biographique est sublimé à travers les quatorze titres comme autant de saynètes souvent pleines d'humour. Pour s'en convaincre, il suffit d'écouter "Les accordéonistes"...
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

lundi 9 octobre 2017

lundi 9 ocrobre - le dernier opus du duo intermezzo : "invitacion"

On connait le Duo Intermezzo depuis son premier disque ; on le suit fidèlement depuis "Astor Piazzolla, Balada para un Loco" en passant par "Bach/Piazzolla, Tête-à-tête" et par "Les 4 Saisons du Tango" (en quartet) jusqu'à cet album qui vient de sortir :"Invitacion". Un parcours qui suffirait à expliquer notre admiration, auquel il faut ajouter deux concerts, à Bourg Saint Andéol et à Oloron Sainte-Marie. Depuis quelques jours donc je me suis immergé dans la musique de ce duo dont le talent est aujourd'hui éclatant.



Pour ma part et avant même toute analyse approfondie, qui viendra plus tard, je vois au moins cinq raisons qui justifient mon admiration et surtout le plaisir que j'ai à rencontrer ce duo magnifique : Marielle Gars au piano et Sébastien Authemayou au bandonéon.
 
- D'abord, le disque en tant qu'objet matériel ou plus exactement esthétique. Et même, plus précisément en tant qu'objet culturel. Deux photos suffisent : on est en Amérique du Sud. Une présentation graphique qui donne envie, tout de suite, d'écouter les propositions du duo. La musique est d'emblée située dans un environnement qu'on reconnait tout de suite.
 
- Mais aussi, un bonus technique, mais pas seulement, à savoir trois titres proposés comme bonus en son 3D Binaural. A écouter avec un casque de qualité. Preuve, s'il en est, que la technique est essentielle quant aux possibilités de plaisir qu'elle offre. Preuve que le duo ne se refuse aucun plus technique pour le plus grand plaisir de leurs auditeurs.   
 
- Mais encore, un commentaire érudit sans être pédant, un commentaire qui situe parfaitement et les œuvres interprétées et le projet du duo. Je cite : "Dans toute l'Amérique latine, les musiciens qui figurent dans cet album se nourrirent (...) de la musique folklorique de leur pays pour lui donner ensuite une allure plus complexe, plus savante. C'est donc sur cette analyse que se fonde la ligne directrice de ce projet discographique. Ainsi, par un considérable travail personnel de recherches et d'arrangements, Marielle Gars (piano) et Sébastien Authemayou, (bandonéon) révèlent une vision très intéressante de la musique latino-américaine et offrent dans cet album les sons d'une terre lointaine avec grande maestria". Que dire de plus, que dire de meilleure façon ? Tout est dit : l'ancrage musical, le travail du duo, sa maestria.
 
- Justement, venons-en au programme : 4 titres du Brésil, 5 de Cuba, 1 du Mexique, 5 de l'Argentine. Voilà pour leur origine géographique. Mais, à y regarder de plus près, on voit que le programme se nourrit en fait d'œuvres de compositeurs connus et inconnus. En tout cas, c'est l'expérience que je fais et qui me ravit. Par exemple, me sont connus : Hermeto Pascoal ou Villa-Lobos ou Carlos Jobim ou, évidemment, Piazzolla ; mais, a contrario, j'ignorais jusqu'ici les noms de  Camargo Mariano, d'I. Cervantes, d'E. Lecuona, de M. Ponce ou de S. Cosentino. Leur découverte est pour moi l'un des intérêts majeurs de cet album. Un grand merci à Marielle et Sébastien pour ce rôle assumé de découvreur et de passeur. Il en serait de même des morceaux, les uns connus comme "Café 1930" ou "Biyuya" ou encore "Bebê" ou un Aria de Villa-Lobos, la plupart inconnus. Du moins de moi.  En ce sens aussi, je dirais que cet album est un objet culturel dans la mesure où il me donne à apprendre. 
 
- J'annonçais ci-dessus cinq raisons d'apprécier "Invitacion". J'en ai recensé quatre. La cinquième ce serait le son même du duo : le piano de Marielle, percussif, autoritaire, précis et plein de tendresse ou de nuances, et le bandonéon de Sébastien  qui a dans son jeu ce je ne sais quoi qui est sa signature et qui me touche infiniment.

dimanche 8 octobre 2017

dimanche 8 octobre - où il est question de "silent walk" de samuel strouk

Depuis quelques jours, je découvre "Silent Walk" de Samuel Strouk. C'est Françoise qui avait repéré sa sortie annoncée. On vient de le recevoir par le Parvis. Je sens bien qu'il me faudra y revenir souvent pour commencer à apprécier toutes les qualités de cet album. C'est une perspective qui me réjouit.

Mais d'abord, je voudrais citer deux passages du feuillet de présentation. Et pour commencer, un texte signé Lionel Eskenazi :

-"A l'écoute de "Silent Walk", imaginez des paysages vierges,  jamais explorés par l'homme, qui vont, au fur et à mesure se déflorer, s'ouvrir à nous, et devenir familiers...". Plus loin il est question d'"émotion" et de "territoires imaginaires". Je ne saurais mieux dire.

- Mais aussi quelques lignes de Samuel Strouk lui-même. "C'est avec un immense plaisir et aussi un peu d'appréhension que je vous livre ici cette promenade silencieuse, ce voyage intérieur où il est question de dévoiler les lieux de la sensibilité comme l'on pourrait découvrir un paysage inconnu. Pour me lancer dans cette aventure, j'ai eu la chance d'être soutenu par des musiciens hors normes et des amis talentueux en amitié. Beaucoup de personnes m'ont aidé parfois même sans le savoir". Là encore : "promenade silencieuse", "voyage intérieur"... Comment mieux suggérer la proposition esthétique qui fonde la création de cet album ?


 
Je vais essayer pourtant de dire ici quelles sont mes impressions présentes à l'écoute de "Silent Walk", comme une sorte de premier état des lieux de ma sensibilité et, disons le, de mes émotions.
 
Il s'agit pour moi d'une marche, du mouvement d'une caravane nomade qui traverse une planète et des terres inconnues à son rythme. Un paysage improbable, un mouvement qui va et que l'on découvre fasciné par l'étrangeté de la scène.
 
Une musique de musiciens attentifs les uns aux autres. Comme les artisans d'un tissage mûrement élaboré. Un tissage où chaque fil se distingue tout en participant à l'œuvre collective. En toute amitié.
Une guitare cristalline et des morceaux en demi-teinte : des nuances avant toute chose. Une musique qui distend le temps, qui étire la durée. Et la caravane qui va son pas. Et qui avance.
 
Qui avance dans un monde énigmatique, lunaire, crépusculaire. Qui bientôt anime tout l'horizon. Chaque instrument à sa façon donnant sa propre profondeur à la démarche méditative du quintet. Méditation, introspection... Forcément, ces mots s'imposent à notre esprit à l'écoute de "Silent  Walk". A chaque nouvelle écoute, ils s'imposent un peu plus.
 
Chaque nouvelle écoute, c'est comme si l'on parcourait en le feuilletant un livre d'images de rêverie. Ou encore, sept morceaux comme sept nouvelles. Comme sept variations sur une obsession intime. L'obsession du créateur comme signe d'authenticité de l'inspiration.
 
En cet instant, alors même que cet album est d'évidence une création magnifique et profondément personnelle et qu'il serait difficile d'en mettre en évidence tel morceau plutôt que tel autre, deux titres me fascinent par leur proximité. Ce sont les titres 5, "Zone Out" et 6, "Sister". D'évidence, pour moi, ils se font échos réciproques et c'est ainsi que je ne cesse de les écouter en boucle.
 
Il faudrait ajouter le plaisir intense d'identifier chemin faisant chaque membre du quintet et de sentir ici et maintenant la présence de Samuel, de François, de Vincent, de Florent et de Diego. La présence de chacun et la complicité de tous entre eux.
 
Bref ! Ce n'est pas simple de trouver les mots de l'admiration. Les chercher, c'est aussi une manière d'en mieux comprendre à quoi tient ce sentiment. Mais le travail est loin d'être fini.  
 
.....
 
En attendant, juste deux documents YouTube :
 
 
 
 
 
 
 
 
 

jeudi 5 octobre 2017

jeudi 5 octobre - à propos de deux sorties de disques...

Hier soir, vers 20 heures, on a reçu un sms et un courriel du Parvis : "Votre commande est arrivée ; elle est disponible en magasin à partir de ce jour".

Cette commande consiste en deux albums sortis ce jour même :

-  "Invitacion" du Duo Intermezzo, M. Gars, piano, et S. Authemayou, bandonéon. 2017, Klarthe.
- "Silent Walk" de Samuel Strouk en quintet avec F. Salque, violoncelle, V. Peirani, accordéon, F. Pujuila, clarinettes et D. Imbert, contrebasse. 2017, Fo Feo Productions, distribution Caroline International. division d'Universal Music.

Comme Françoise est absente pour la journée, pas question, malgré mon impatience d'écouter ne serait-ce que quelques notes de l'un ou l'autre de ces deux disques. C'est l'occasion pour moi de les explorer en tant qu'objet culturel et pas seulement musical, même si cette dimension est évidemment l'essentiel.

Déjà... les couvertures : une photo hyper réaliste, un portrait dessiné... L'Amérique du Sud d'une part avec ses monstres des années 50 ou 60, ses rues défoncées et les murs des quartiers populaires avec leurs couleurs de sorbets, leurs ombres et leurs lumières. D'autre part, une image froide en bleu et blanc. Un portrait de Samuel Strouk en forme de sphinx sur fond de paysage inexploré. Contraste entre les deux images.


Si l'on examine de plus près "Invitacion", on est frappé par la qualité de cet objet. Une présentation impeccable au plan visuel ; un livret explicatif absolument remarquable, complet et documenté sans le moindre pédantisme. Une présentation qui dit clairement quelle considération le duo porte à ses auditeurs.

Et puis, si l'on examine maintenant le programme de l'album, on est frappé par la variété des compositeurs. Un programme mûrement pensé qui nous conduit du Brésil à Cuba et du Mexique en Argentine. Un programme qui met en confiance...



Quant à "Silent Walk", comment ne pas faire confiance à ce quintet ? Rien que des gens que l'on admire. Un livret poétique et qui intrigue. De toute évidence une œuvre très personnelle, apparemment très introspective.


 
Bref ! Pour tout dire, il me tarde maintenant que Françoise revienne : il est temps d'écouter "Invitacion" [18 titres ; 75 minutes"] et "Silent Walk" !  [7 titres, 41 minutes].

mercredi 4 octobre 2017

mercredi 4 octobre - alerte agenda ! trois sorties de disques...

Juste un mot pour signaler ici la sorties de trois cds dont, connaissant les interprètes, on attend plein de "bonnes choses"... Sorties imminentes en ce mois d'octobre.

- du Duo Intermezzo, un album intitulé "Invitacion". Bandonéon et piano. Un duo vers l'excellence.

http://www.duointermezzo.com/invitacion-fr.html



- de Samuel Strouk, un disque intitulé "Silent Walk" avec - excusez du peu... - S. Strouk lui-même à la guitare, V. Peirani, accordéon, F. Salque, violoncelle, F. Pujuila, clarinette, D. Imbert, contrebasse.

http://www.samuel-strouk.com/


- de Marc Perrone, un disque intitulé "Bubel Gomme" avec comme complices G. Apap, M. Azzola, M.-O. Chantran, J.-L. Bernard, J. Di Donato, B. Lubat,  A. Minvielle.

https://www.marcperrone.net/


A ces trois disques, j'ajoute un disque sans accordéon, mais avec, au piano, H. Sellin et Fanny  Azzuro : "Passerelles". Un quartet : piano, piano, contrebasse et batterie. Un disque "entre classique, jazz et tango"... Un document YouTube de 9 :13.

https://www.youtube.com/watch?v=GNpbcRi-Ibs